5.5.08

Sécurité sociale : la folie criminelle du socialisme, et ses victimes

"Si on prive les socialistes de leurs victimes, ils ne peuvent plus faire de socialisme. Si vous leur proposez de vivre "socialistement" entre eux, ils ne veulent pas, ce qu'ils veulent c'est vivre par la force sur votre dos. Pour qu'il y ait une "sécurité" sociale, il faut qu'il y ait une "non-sécurité" sociale. Pour qu'il y ait un système criminel qui est fondé sur la pensée magique et sur l'idée que la violence permet de se dispenser de tenir compte des lois de la réalité, il faut qu'il y ait des gens qui, eux, sont capables de traiter la réalité, qui soient rationnels et serviront d'esclaves aux premiers. Le voleur a besoin du volé, même si le volé n'a pas du tout besoin de son voleur. La spoliation légale ne profite à personne, et elle détruit tout ce qu'elle touche. Un jour le système disparaitra, car il n'y a pas de limite à la violence qu'on peut commettre pour essayer de préserver un système qui est fondé sur la négation du réel."
(Emission du 28 avril, cliquer sur la flèche verte)



1 commentaire:

BRUGIER PHILIPPE-ARNAUD a dit...

Si l'on fait une écoute " antichronologique " , entre les verbiages des journalistes de " Marianne " sur le site du Figaro et les discussions très lumineuses , pertinentes ( dans le sens de l'intelligence ) et impertinentes ( dans le sens de politiquement et économiquement " incorrects " ) de Georges Lane et de François Guillaumat sur Lumière 101 de cette émission du 28 Avril 2008 , et bien il n'y a pas photo !!! Tout est dit , et la preuve est une nouvelle fois apportée au sujet ou à propos de la Sécurité Sociale . Ces deux documents sont à verser dans le Procès contre le monopole de la Sécurité Sociale .